Sauna extérieur, ses variantes

Le sauna extérieur et design

Sauna extérieur nouvelle génération

Après avoir vu apparaître sur le marché des saunas intérieurs design, voici que la version extérieure reçoit, elle aussi, un sérieux coup de lifting. Une réelle demande se fait sentir en France pour en installer dans le jardin ou sur une terrasse.


Le fabricant Harvia suit cette tendance en proposant une nouvelle gamme aux lignes sobres et tendues. Ces cabines extérieures s’intègrent parfaitement aux designs épurés des maisons contemporaines. Ils existent en différentes dimensions et sont équipés en série d’un poêle à bois. Même si ce mode de chauffage est certainement le plus charmant sa mise en œuvre reste fastidieuse. Nul doute que la version électrique lui sera préférée. La tradition oui mais sans contrainte.


Mais bien plus qu’un simple sauna extérieur, les nouveaux modèles intègrent une terrasse, un vestiaire et même une pièce de repos. On peut installer sur la vaste terrasse un spa, de quoi constituer un véritable petit pôle bien-être au fond du jardin.


L’installation bien que plus longue qu’une version intérieure et ne nécessite pas de compétence technique spécifique. LA livraisons se fait sous forme de kit à monter sur une dalle en béton ou sur des dalles de jardin disposées sur un sol parfaitement stabilisé et horizontal.


Bien plus qu’un simple folklore, le sauna extérieur fait parti d’un art de vivre. Celui de prendre soin de son corps, d’être à son écoute. Il permet aussi la méditation et l’introspection. Une séance ramène à l’essentiel et permet bien souvent de se déconnecter du stress de la vie quotidienne.

Sauna extérieur tonneau

Venu d’Amérique du Nord, le sauna extérieur en forme de barrique fait une percée en France. Quels sont ses atouts face au sauna extérieur traditionnel fabriqué en Finlande ?


Tout d’abord l’originalité de sa forme peut séduire. Atypique il peut donner un cachet à un joli jardin. Côté technique, il est composé de lames de bois disposées sur une structure ronde ou ovale. Il n’y a pas d’isolant. Ce sont donc uniquement les lame de bois que feront barrière au froid extérieur et qui maintiendront la chaleur à l’intérieur lors de l’utilisation.


En période hivernale la chauffe est un peu plus longue mais cela peut se compenser en sur-dimensionnant la puissance du corps de chauffe.. Par comparaison, dans un sauna traditionnel extérieur finlandais en madrier, le toit du sauna est toujours isolé avec de la laine minérale. La chaleur est ainsi mieux contenue à l’intérieur.


L’étanchéité de la fabrication doit être considérée dès l'acquisition. Le bois a en effet tendance à se rétracter lorsqu’il sèche. C’est en se gorgeant d’humidité que l’étanchéité est assurée. Durant les périodes de transition entre temps secs et temps pluvieux le risque est d’avoir des infiltrations. Pour palier à ce problème, certains saunas barriques sont livrés avec une étanchéité à mettre en place sur le dessus. Bien que moins esthétique ce procédé a l’avantage de ne pas voire ruisseler de l’eau à l’intérieur.


Le corps de chauffe est absolument capital dans ce type de sauna. Il doit être de puissance suffisante pour arriver à des températures de 80°C au moins et ce même par température extérieures négatives. Il faut au minimum une puissance d’un kW par m3.

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Etancheité sauna extérieur

Le sauna devient de plus en plus populaire en France. Les nombreux articles, reportages mais aussi les expériences personnelles de voyages ont permis de faire connaître cette tradition des pays du Nord de l’Europe.


Le sauna peut être d’intérieur ou d’extérieur. Dans ce dernier cas, il doit être à l’épreuve des intempéries et l’étanchéité de son toit doit être particulièrement soignée. Un sauna extérieur est livré le plus souvent avec toit fait de pannes et de liteaux recouverts de lambris de bois. Mais ces derniers n’assurent pas une barrière aux infiltrations d’eau. Il convient donc de les recouvrir. Pour ce faire il existe plusieurs solutions


:Les shingles : ce sont des plaques ou des rouleaux de feutre asphalté. Ils peuvent être autocollant ou à clouer. La pose est simple et la découpe se fait aisément à l’aide d’un cutter. Les couleurs disponibles aisément sont le rouge brique, le vert et le noir.


La tôle : La tôle présente l’avantage d’être plus pérenne que les shingles. La difficulté réside dans sont découpage qui nécessite un outillage professionnel pour un travail propre. Notre conseil est de les faire découper directement par le fournisseur. Opter pour un assemblage de plusieurs tôles facilitera également le transport et la mise en œuvre. La tôle peut être en acier galvanisé ou peinte mais choisir de préférence une tôle d’aluminium. Ce matériau ne s’oxyde pas et est léger. 


 La tôle est à visser sur les lambris. Une rondelle en caoutchouc assurera l’étanchéité au niveau du trou de la vis.
Plaque de plexiglas : Il en existe une multitude. Leur esthétique est souvent discutable mais c’est là une question de gout. Il faut s’assurer que le matériau est résistant au gel et au rayonnement directe du soleil.


Notre conseil est de choisir les shingles. Leurs formes et leurs couleurs permettent une bonne intégration visuelle et leur mise en œuvre est simple.

Bain nordique

Spa, baignoire, bassine ? Non, bain nordique ! Le bain nordique est à mi-chemin entre une baignoire et un spa. Il était à l’origine utilisé pour les soins corporels mais également pour s’y détendre.


Complément du sauna extérieur, le bain nordique est une grosse cuve en bois. Son eau est chauffée à l’aide d’un poêle à bois. Celui–ci peut se trouver directement dans la cuve ou à l’extérieur, relié par deux conduits. Lorsqu’il est immergé dans l’eau, sa str

ucture est étanche. Seule la partie supérieure dépasse le niveau d’eau. C’est par là que le bois est chargé.
Avec un poêle immergé l’emprise au sol est réduite en comparaison d’une installation avec un poêle externe. Dans ce dernier cas, la circulation de l’eau se fait naturellement entre la cuve et le poêle. C’est la différence de température entre l’eau chaude entrante et l’eau chaude sortante qui créée une dépression activant ainsi un flux.


Un bain nordique s’installe toujours en extérieur, dans un jardin ou sur une terrasse. Compte tenu de sa masse une fois rempli, entre 700 kg et plus 2000 kg en fonction des modèles, sa base doit reposer sur un sol parfaitement plan et stabilisé. Une dalle de béton ou des dalles de jardin conviennent.


L’eau est généralement conservée plusieurs jours. Sa qualité dépend de l’hygiène de ses utilisateurs et de l’emploi de produits désinfectants.


Certains bains nordiques actuels disposent d’un insert plastique recouvrant tout l’intérieur de la cuve. Cet insert a deux fonctions. Tout d’abord sur le plan de l’entretien. Il permet l’utilisation de produits de traitement de l’eau sans que cela n’endommage le bois.
Mais l’insert plastique assure aussi une parfaite étanchéité. En effet si la cuve en bois n’est pas continuellement en eau, le bois s’assèche et se contracte. De petits espaces peuvent alors apparaitre dans sa structure. Au remplissage suivant les fuites d’eau sont possibles. Elles cesseront lorsque le bois aura retrouvé une certaine teneur en humidité et se sera dilaté, obstruant ainsi les petits espaces.
 

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